mercredi 28 août 2013

Les polars de l'été #4

Ça y est, ma saga Les polars de l'été se clôt avec ce post. Je ne pense pas lire de nouveau policier d'ici la fin de la semaine. J'ai un Victoria Hislop et un Antoine de Saint-Exupéry qui m'attendent tranquillement.


Il est aujourd'hui question de Blanc comme la nuit d'Ann Cleeves.

 

 

 

 

Voilà ce que dit la 4e de couverture :




"Macabre découverte à Biddista, petit hameau des Shetland. Dans une cabane de pêcheur, un homme est retrouvé pendu, le visage recouvert d'un masque de clown. L'inspecteur Jimmy Perez ne croit pas au suicide. Mais personne ne semble connaître la victime et l'affaire piétine. Et puis la tragédie frappe : Roddy, enfant chéri de l'île, jeune violoniste célèbre, est découvert mort au pied de la falaise. Nuits blanches et jours sans fin pour Jimmy Perez qui doit faire la lumière sur le passé d'une petite communauté trop idyllique.."









Dès les premières pages j'ai adhéré mais sans vraiment rentrer en profondeur dans l'histoire, de façon assez superficielle : petit polar ni désagréable ni prenant. Une des raisons pour laquelle je continuais obstinément ma lecture, c'est les Shetlands. L'intrigue se déroule sur cet archipel du nord de l’Écosse, pendant l'été : le soleil ne couche pas. En effet, le cercle polaire n'est pas bien loin. Ça donne une atmosphère toute particulière à l'histoire. Et la description des paysages, entre côtes déchiquetées, landes sauvages, lochs fantasmagoriques et paysages désolés mais tellement vivants, m'a donné une envie de voyage. Pendant des pages entières je me disais qu'il fallait que j'y aille, que dès lors que je ferai un périple en Écosse, il faudra absolument que je fasse un saut par ces iles irréelles (je parle de ce voyage au futur de l'indicatif même pas au conditionnel, car l’Écosse, c'est sur mon Top10 des voyages à faire dans mon existence). Je me suis laissée prendre au jeu, et finalement, j'ai apprécié ce romain, et je crois même que si je tombe sur d'autres ouvrages de l'auteure, je m'y plongerai avec plaisir, perpétuant le temps d'un livre mon périple shetlandais.

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