samedi 31 août 2013

J'ai été taguée!

Tout est dans le titre, j'ai été taguée par I feel blue ici-même. Et j'ai décidé de jouer le jeu car c'est bien la première fois de ma vie que je suis taguée, et les premières fois, ça émoustille toujours. Ouais ouais. Donc je la remercie chaleureusement. Cœur sur toi, tout ça.

 

 

Voici le principe (copié directement du blog d'Ifeelblue, qui était déjà un copié-collé si je me rappelle bien : après les bloggeuses à chats, les bloggeuses flemmardes...)

 

 

Les règles du jeu :

- la personne taguée répond aux 11 questions qui lui sont adressées,

- elle raconte 11 choses sur elle,

- elle tague ensuite 11 autres bloggeurs, les prévient et met les liens vers leurs blogs et leur pose 11 questions,

- et comme quand on joue à chat perché, pas le droit de re-taguer celui qui nous a tagué.

 

 


Bon alors, ça s'est révélé beaucoup plus compliqué que prévu. Car j'ai eu un peu un gros blanc lorsqu'il a fallu s'atteler à la partie "raconte 11 choses sur toi". Je n'avais rien à dire. Je me suis dit que c'était triste de résumer 25 ans d'existence par un gros rien. Pour le coup, I feel blue (ouais, j'ai un sens du jeu de mots pourri assez poussé mouhahaha) (mais je rigole toujours à mes blagues, je suis mon meilleur public).

 

 

J'ai donc été voir ce que les autres bloggeuses racontaient sur elles, et je pense que je suis bonne pour devenir leur biographe officielle. Je leur ferai un prix d'ami, il va sans dire.



 

On commence par la partie simple :  les questions posées par Ifeelblue.


1. De quoi as-tu rêvé cette nuit? 

M'en souviens plus. C'est à cause du rosée d'hier soir ça.


2. Tes proches connaissent-ils l’existence de ton blog? 

Mes amies, oui, mais elles ne le lisent pas... Ma famille, non.

 

3. Le dernier livre que tu as lu? 

Ann Cleeves et son Blanc comme la nuit. Maintenant, je n'ai qu'une seule envie, partir visiter les iles Shetlands.


4. Ton meilleur souvenir de lycée?

Rien ne me vient à l'esprit... Pourtant, ça va, j'ai bien aimé mes années lycée (sauf la seconde en fait).


5. Une cause qui te tient à cœur?

Oulalala... Y en a plein qui vont de la scolarisation des petites filles dans les pays du tiers monde, à la sauvegarde des rhinocéros d'Afrique en passant par la protection du patrimoine culturel sous toutes ses formes. 


6. Ta citation favorite?



7. Le meilleur concert auquel tu as été?

Henri Dès à l'Olympia quand j'avais 5 ans. Parce que quand t'as 5 ans, c'est magique quoi.


8. Tu préfères aller chez le dentiste ou la gynéco?

Le dentiste, je l'ai tellement pratiqué et j'ai tellement de points de sutures dans la bouche, que ça me fait ni chaud ni froid maintenant.


9. Enfant, t’étais plutôt Lego ou Barbies? 

Les deux, j'ai un frère quasiment du même age que moi, ce qui fait qu'on jouait ensemble et qu'on alternait. Je me souviens même que parfois c'est lui qui réclamait pour jouer à la Barbie... Mouhahahaha.


10. Ton idée du vendredi soir idéal?

Ça dépend de mon humeur : buller devant une série pourrie de M6 dans une tenue d'une grande mochitude mais fortement confortable, ou sortir boire des coups avec les potes.


11. Es-tu fière de ton blog?

Fière, ce n'est peut être pas le mot... J'ai une certaine affection pour lui, j'y mets ce que j'aime et puis voilà. Il n'a rien d'exceptionnel. Mais il est choupinou je trouve.


 

Et maintenant, 11 choses sur moi (là ça se complique un peu...)


1. Je m'appelle Morgane.


2. Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai fait du droit.


3. Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai décidé de faire une thèse.


4. Parce que pour de vrai, je voudrais être directrice de zoo ou présentatrice de Des racines & des ailes.


5. J'ai déjà eu un blog. Ouais ouais.


6. J'adore les chiens. J'y peux rien, c'est comme ça. Surtout les border collie.

Ceci est un border collie



7. J'ai vécu en Angleterre.


8. J'aime pas les tomates. Ni les pommes, ni les fraises, ni les framboises, ni les glaces. Et ce n'est que le début d'une très longue liste. Et en plus, je n'aime pas cuisiner.


9. Mes chiens et chats auront des noms de victoires napoléoniennes (Marengo, Iéna, Arcole, Montebello, Moskova...) (et mes enfants, des noms de dieux grecs, non je rigole, chui pas complétement folle quand même).


10. Dans le blogosphère, je suis ultra timide. Alors que dans la vraie vie, pas du tout. C'est dingue ça.


11. Je tombe amoureuse comme on tombe d'une chaise car je ne suis pas le genre de filles dont on est fou amoureux (Mix entre Little et Benabar)

 

 

Voilà j'espère que c'était un peu ça qu'on attendait de moi.

 

 

Maintenant, il parait que je dois taguer des gens. Mais, ça m'angoisse tellement de les déranger (cf. point n°10) que je ne vais pas oser... (est-ce qu'un grand malheur m'arrivera si je casse la chaine?? genre je vais finir mangée par un dinosaure?) (et en plus, les bloggeuses que j'aurai taguées, l'ont déjà été... comme Mary Faou par exemple) ou ) (et sinon, j'avais pensé à Fedora, Elisa, La biblio d'Onee, et Des petits papiers, Jurist in the city...)

 

Toutefois, je vais poser les questions :


1. Tu es plutot tarot ou trivial pursuit?

2. Ibiza ou Shetland?

3. Ton dernier voyage? Le prochain?

4. Stark ou Lannister? (Dark Vador ou Luke Skywalker? Mufasa ou Scar?)

5. Pourquoi as-tu un blog?

6. Ça va bien aujourd'hui?

7. Tu me conseilles quoi comme film dernièrement au ciné?

8. Et comme bouquin?

9. D'où vient le nom de ton blog?

10. Je viens manger chez toi, quelle sera la composition du repas (j'amène la boisson, il va sans dire) (j'ai un oncle vigneron) (et si tu ne bois pas d'alcool, je trouverai bien un truc, no souci)

11. Qu'est-ce que tu préfères à Paris?



Voilà voilà.


vendredi 30 août 2013

Aveyron sauvage

Un article tout en photos, prises au cours de mes ballades à tracteur, ou a pieds.






























jeudi 29 août 2013

L'Aveyron - Belcastel



Belcastel, c'est donc en Aveyron (comme indiqué dans le titre). Il fait partie des Plus Beaux villages de France (label décerné après une rude sélection) (ça ne rigole pas). Il surplombe l'Aveyron (la rivière qui a donné son nom au département) (vous apprenez plein de choses ici) (c'est cool, hein, vous allez pouvoir briller en société). Au plus haut du village, il y a un château du XII-XIIIe siècle. On peut le visiter (mais on ne l'a pas fait). On s'est juste promené dans le village, et ça suffit pour en prendre plein la vue. Même s'il pleuvait averse, et que c'était tout gris. A mon avis, sous le soleil, ça aurait été dix fois mieux. Mais j'ai évité la masse de touristes (y en avait déjà pas mal) (comme je suis parisienne, j'essaie de les éviter pendant les vacances) (je suis atteinte de parenthèsite aiguë, j'essaie de me soigner).






























mercredi 28 août 2013

Les polars de l'été #4

Ça y est, ma saga Les polars de l'été se clôt avec ce post. Je ne pense pas lire de nouveau policier d'ici la fin de la semaine. J'ai un Victoria Hislop et un Antoine de Saint-Exupéry qui m'attendent tranquillement.


Il est aujourd'hui question de Blanc comme la nuit d'Ann Cleeves.

 

 

 

 

Voilà ce que dit la 4e de couverture :




"Macabre découverte à Biddista, petit hameau des Shetland. Dans une cabane de pêcheur, un homme est retrouvé pendu, le visage recouvert d'un masque de clown. L'inspecteur Jimmy Perez ne croit pas au suicide. Mais personne ne semble connaître la victime et l'affaire piétine. Et puis la tragédie frappe : Roddy, enfant chéri de l'île, jeune violoniste célèbre, est découvert mort au pied de la falaise. Nuits blanches et jours sans fin pour Jimmy Perez qui doit faire la lumière sur le passé d'une petite communauté trop idyllique.."









Dès les premières pages j'ai adhéré mais sans vraiment rentrer en profondeur dans l'histoire, de façon assez superficielle : petit polar ni désagréable ni prenant. Une des raisons pour laquelle je continuais obstinément ma lecture, c'est les Shetlands. L'intrigue se déroule sur cet archipel du nord de l’Écosse, pendant l'été : le soleil ne couche pas. En effet, le cercle polaire n'est pas bien loin. Ça donne une atmosphère toute particulière à l'histoire. Et la description des paysages, entre côtes déchiquetées, landes sauvages, lochs fantasmagoriques et paysages désolés mais tellement vivants, m'a donné une envie de voyage. Pendant des pages entières je me disais qu'il fallait que j'y aille, que dès lors que je ferai un périple en Écosse, il faudra absolument que je fasse un saut par ces iles irréelles (je parle de ce voyage au futur de l'indicatif même pas au conditionnel, car l’Écosse, c'est sur mon Top10 des voyages à faire dans mon existence). Je me suis laissée prendre au jeu, et finalement, j'ai apprécié ce romain, et je crois même que si je tombe sur d'autres ouvrages de l'auteure, je m'y plongerai avec plaisir, perpétuant le temps d'un livre mon périple shetlandais.

lundi 26 août 2013

Les polars de l'été #3

Continuons la série des Polars de l'été avec Nicci French et leurs Morsures du doute. Nicci French est un pseudonyme ; la réunion du prénom de Nicci Gerard et de Sean French, époux à la ville, et journalistes anglais. Depuis un certain temps, ils sont considérés comme les maitres du genre, et ont écoulé beaucoup de leur romans. J'avais entendu de mauvaises critiques, et en effet, je n'ai pas été vraiment conquise par leur prose.


Les Morsures du doute est un livre qui réunit trois nouvelles, qui se lisent en une soirée, et, comme un mauvais rosée, ne laisse rien derrière elles. Je n'ai pas trouvé l'écriture subtile, et les trames des histoires n'ont rien d''original : c'est du vu et du revu. Je n'en racheterai certainement pas.




Voilà ce que dit la 4e de couverture :


  • "Joey a "huit ans et quart ". Un papa plein d'affection et une jolie maison. Joey avait également deux chats. Mais Minnie, la plus petite, s'est enfuie. Evaporée comme Cathy, la jeune fille au pair qui vivait avec eux. Comme Alison, sa grande soeur. Les gens s'en vont et on ne les revoit plus. Mais ne demandez pas à Joey, elle ne sait rien... 

  • Rory avait cinq ans. Sa mère prend sur elle de vider sa chambre. Son père, depuis le drame, perd un peu les pédales. Qui aurait pu se douter qu'une simple piscine détruirait toute la famille ? Et, Max, l'aîné, le survivant, de garder son chagrin secret. Si secret. Trop secret... 

  • Et les secrets sont si lourds à porter : cette femme, parfaite mère au foyer, le sait bien, elle qui ne peut oublier ni faire taire sa conscience.. . Trois nouvelles à glacer les sangs signées Nicci French, dans l'enfer des familles trop sages..."





Bon sinon, en tant que faible femme, j'ai cédé à mes pulsions et j'ai racheté des livres. Notamment celui-ci qui n'a rien d'un polar, best-seller de l'été dernier et de l'été présent si on croit les classements. Depuis le temps que je le voulais... : L'ile des oubliés de Victoria Hislop. J'espère qu'il ne me décevra pas!!!



samedi 24 août 2013

Les polars de l'été #2

J'ai continué mes lectures de piscine avec Derrière la haine de Barbara Abel. Il y a pas mal de mois que le livre traine sur mon étagère en attente, et je l'ai fourré dans ma valise, me disant qu'il s'accorderait parfaitement avec mon été aveyronnais.


Voilà ce que dit la 4e de couverture :


"D'un côté, il y a Tiphaine et Sylvain ; de l'autre, il y a Laetitia et David. Deux couples voisins et amis, ayant chacun un enfant du même âge. Deux couples fusionnels et solidaires qui vivent côté à côte dans une harmonie parfaite. Jusqu'au jour du drame. Un tragique accident fait voler en éclats leur entente idyllique, et la cloison qui sépare leurs maisons tout comme la haie qui sépare leurs jardins ne seront pas de trop pour les protéger les uns des autres. Désormais, les seuls convives invités à la table des anciens amis s'appellent Culpabilité, Suspicion, Paranoïa et Haine... Derrière la haine est un roman psychologique à glacer les sangs, d'une noirceur implacable."




En effet, c'est un "roman psychologique", il ne se passe pas grand chose, pas de rebondissement, pas d'épopée, de combat, de course poursuite. La vie dans sa simplicité et dans sa banalité.  Qui ne fait qu'accentuer le malaise... Ce livre ne laisse pas indifférent, il se lit très facilement, on se laisse porter par la vie de ces couples, jusqu'aux dernières pages. Dans un genre aux antipodes du Dieu de New-York, il se laisse dévorer sans aucune difficulté!!! Bref un bon petit polar de l'été.


Bien à vous!

vendredi 23 août 2013

Les polars de l'été #1

Pour moi l'été commence. Non pas l'été météorologique, celui-là a le mérite d’être présent depuis pas mal de temps, mais l'été qui rime avec glandouille. Je m'étais dit que j'allais travailler ma thèse. Cependant, telle une résolution vite oubliée d'un jour de l'an aviné, je bulle les pieds dans une piscine. Ce n'est peut être pas très utile, mais je savoure! Et en été, pour se détendre rien ne vaut des tueurs en série mangeurs d'enfants, et autres crimes abominables. On sait tous que l'été est propice à ce genre de lectures. Quand on réfléchit deux minutes on se demande pourquoi d'ailleurs. Mais là n'est pas mon sujet.



J'ai lu Le Dieu de New-York, un beau bébé de 550 pages de Lindsay Faye. Et j'ai beaucoup aimé.



Sur la 4e de couverture voilà ce qui est écrit : 

"1845. La ville de New York voit la création de son service de police. La grande famine en Irlande pousse des milliers de gens à quitter leur pays. Ces deux événements a priori sans lien vont changer le visage de New York. À tout jamais... Été 1845. Après des années de conflit politique, New York crée son unité de police. Timothy Wilde, ancien barman, intègre alors ce fameux NYPD grâce au soutien de son frère Val, un homme influent proche du parti démocrate. Mais Timothy ignore ce qui l’accable le plus, le récent incendie qui l’a défiguré à vie ou ce nouvel emploi qu’il n’a pas choisi… Une nuit, alors qu’il fait sa ronde, Tim Wilde tombe sur une petite fille couverte de sang. Quand elle lui annonce qu’elle connaît un endroit où sont enterrés des dizaines d’enfants, Timothy se retrouve entraîné malgré lui dans une traque contre un tueur en série qui semble nourrir une animosité particulière à l’encontre des immigrants irlandais et plus particulièrement des plus jeunes d’entre eux. Timothy va mener une lutte effrénée pour découvrir l’identité de cet assassin, une lutte qui pourrait lui coûter son frère, la femme de ses rêves et même la vie…"


J'ai apprécié. Pourtant, on y croise la misère, la prostitution, l'infanticide. New York n'est un qu'un immense cloaque dans lequel se déverse la misère européenne ; insalubre, moche, sale, à dix mille lieux de ce qu'elle est aujourd'hui (mais c'est valable aussi pour Paris et Londres) (et certainement d'autres villes d'ailleurs). Elle est la porte d'entrée de cet immense pays que sont les États-Unis, mélangeant les gens de partout, les irlandais fuyant les grandes famines, les premières générations d’immigrés, les indiens, les noirs, les hollandais, les allemands... Ils vivent les uns avec les autres sans se mélanger. Mais ce qui sépare le plus c'est la religion : les protestants d'un coté et les catholiques de l'autre. Voilà, le décor est planté. Et dans cette fourmilière, on suit un homme, son enquête, ses amours, bref sa vie. Il est question de meurtres rituels d'enfants. Je ne vous en dis pas plus.

C'est écrit en argo new-yorkais dans la version originale, et en argo français dans la version française (la traductrice donne le lien du site où l'on trouve le dictionnaire argo-français). J'ai appris beaucoup de mots, et l'importance de ce langage. Et il y a un lexique à la fin. Lors de la lecture, je n'ai pas eu besoin de m'y référer, car on comprend très bien le sens des mots ou des expressions dans le contexte, mais c'est plaisant de s'y replonger à la fin du livre. J'ai eu des coups de cœur pour certains mots comme "épastrouillant" et "époélant", qui veulent dire la même chose : extraordinaire. Je vous en donne d'autres pour exemple : "s'affuter les pincettes" qui veut dire courir et "ratiboiseur de landau à baleines" qui veut dire voleur de parapluies.

 

 

Ainsi, malgré sa taille, son histoire pas joyeuse, cette ambiance des bas fonds, ses mots inconnus, ce livre se lit très facilement et avec plaisir!!!

 

Bien à vous!

mardi 20 août 2013

En vrac #2

Après le couvent breton, j'ai été me perdre dans les vignes de Pouilly sur Loire (surtout dans sa Foire aux vins...) et maintenant, je suis dans l'Aveyron à Saint-Cyprien sur Dourdou (le nom m'éclate, je sais, il m'en faut peu)(pour être heureuse).


Il pleut comme il n'a jamais plu en Bretagne. Mais il fait très très chaud. Je me croirais dans un pays subtropical quoi.


Il y a des vaches, des biquettes, la totale, et des chiens dont un qui ressemble au loup des Stark de GoT (je vais le prendre en photo, promis).


Par contre, internet, ce n'est pas ça.


Mais on mange bien ici.


J'ai un peu du mal à me mettre à ma thèse par contre. Si vous trouvez ma motivation, ramenez là moi..

Les vernis aussi ont le droit à des vacances à la campagne!!!

Bien à vous!!

samedi 17 août 2013

Viens boire du Pouilly!



Je vous avais laissé avec un petit message sur mon désamour temporaire pour Paris, à laquelle je préférai la Nièvre ; en effet, j'ai passé quelques jours à Pouilly sur Loire, où le soleil est au beau fixe, la Loire majestueuse (et où surtout le vin coule à flot). Pouilly se trouve donc au milieu de la Loire.         (c'est écrit là =>)







-Pouilly dominant le fleuve- 


Ce pont enjambe la Loire et mène à un autre département (le Cher) et à une autre région (le Centre) (rappel géographique : Pouilly est dans la Nièvre, en Bourgogne). C'est un pont début du siècle dernier, une époque où les voitures n'étaient pas ce qu'elles sont aujourd'hui, et donc c'est un peu compliqué d'y faire croiser deux automobiles.






- L’église du village-





- Les vignes-

A deux pas du centre-ville, on se retrouve encerclé par la vigne.





La Tour du Pouilly fumé

Pour continuer cette ballade, rien de tel que la Tour du Pouilly, pour en découvrir plus sur les vins du village. Il y a deux appellations d'origine contrôlée le Pouilly Fumé (sauvignon) et le Pouilly sur Loire (chasselas) et quatre terroirs différents. Cela fait presque 1300 ans que l'on fait du vin ici. La Tour permet de découvrir le monde viticole, il y a une cave aux arômes, et des mises en scènes très bien faites. Et évidemment, la visite se termine par une dégustions de quatre vins. Bref à faire!!!


- La cave aux arômes-






Bon je n'ai pas pris des photos des mises en scène ou de la dégustation, ça se vit plus que ça se photographie.


Bien à vous.