samedi 29 mars 2014

Instagram-Moi!

Voici quelques images qui résument assez bien ma semaine!!

Tout d'abord, le cahier que j’utilise pour les cours particuliers que je donne en droit de l'Union européenne, beaucoup plus choupinou que la matière!



J'ai été au salon de la franchise (j'ai déjà eu le droit à tous les jeux de mots possibles et inimaginables) pour chercher 2-3 infos pour créer son entreprise. A mon avis, pas spécialement indispensable...



Ballade dans Paris sous le soleil, je ne m'en lasse jamais!


 

Le centre commercial Beaugrenelle (15e)


Le musée du Quai Branly



Celle qu'on ne présente plus


Le centre commercial Beaugrenelle (15e)




Bon week-end!


samedi 22 mars 2014

Stand by

Un petit message pour dire que je mets le blog entre parenthèse pendant quelques semaines certainement...


Je reviendrai pour vous faire partager mon voyage en Écosse.


Pour le moment, j'ai été élue au Conseil scientifique de mon université, ce qui est cool, je m'investis à fond dans l'association des doctorants, je relis les thèses des copines, je les seconde pour leur mariage, je monte une boite, et je suis malade, mon médecin pense que ce sont les sinus (merci la pollution) mais dans le doute, il m'a parlé aussi de neurologue, ça m'a un peu angoissée, donc affaire à suivre. J'ai retrouvé mon téléphone et ma connectivité au monde, par contre je me bats toujours avec la compagnie aérienne pour mon voyage écossais (comment transformer un voyage en souci...). Voilà, je continue à lire vos blogs, ça, ça ne change pas.


A bientot!!

mercredi 12 mars 2014

La Journée de la femme digitale

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Le 7 mars dernier, se tenait au Palais Brongniart (tout un symbole puisque ce lieu, la Bourse donc, était interdit aux femmes jusqu'en 1967, et qu'en 1986, à l'arrivée des ordinateurs, il était l'endroit le plus connecté de France) la 2e édition de La Journée de la femme digitale.

 

 

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Les fondatrices de cette journée sont Delphine Remy-Boutang et Catherine Barba, deux femmes très dynamiques et très intéressantes.

 

 

Nous étions conviés, à partir de 14h à l’auditorium pour "une conférence énergisante qui vise à stimuler l'esprit d'entreprise en France, en mettant en lumière des pépites, des parcours et projets inspirants".

 

 

 

 

La conférence était de surcroit retransmise en direct à Londres et San Francisco. Et le thème  choisi était "Change the futur", tout un programme.

 

Il y avait donc des femmes dirigeantes et créatrices d'entreprise. Et il y avait aussi des hommes.

 

Source

Plusieurs tables rondes se sont succédées autour des sujets suivants :

  • L'Education

  • Le Management

  • L'innovation

  • et L'argent

     

     

    Tout d'abord, pourquoi une Journée de la femme digitale ? car "l'ère numérique est le nouvel age de l'humanité",  c'est la "troisième révolution industrielle". C'est la première fois dans l'histoire de l'humanité que la nouvelle génération en sait plus que l'ancienne, que ce n'est plus l'ancienne génération qui détient et transmet le savoir. Et il faut évidemment que la femme puisse profiter de ce nouvel Eldorado. A noter, que dans les métiers du numérique, il n'y a pas de distorsion de salaire entre les hommes et les femmes. 

     

     

Je ne vais pas tout vous expliquer, tout vous retransmettre, mais seulement, ce que j'ai noté, ce qui m'a touché, ce qui m'a parlé. Avec toute la part de subjectivité que cela implique.

 

 

Cette Journée de la femme digitale commence par rappel de chiffres interessants concernant les femmes :  il y a 30% de croissance en plus lorsque c'est une femme qui est à la tête d'une entreprise et moins de conflits sociaux (données issues d'études, notamment émanant de Forbes). Comme quoi la valeur ajoutée des femmes est sous-estimée malgré tout le potentiel qu'on pourrait en tirer (non mais je suis naïve et je me dis que ça va changer).

 

 

Je me suis sentie concernée lorsqu'ils ont pointé les faiblesses des Universités : nous sommes trop éloignés de la vie réelle et du monde du travail, il y a une  énorme fracture entre les Grande Écoles et les facs, qui portent préjudices aux étudiants des Universités. Cela a fait échos à mon immense désarroi à la fin de mes 5 années d'études à la fac de droit. J'avais l'impression que seul m'attendait le vide abyssale du rien du tout, et que je ne savais rien faire. Rien de concret, en tout cas. Déjà, que les étudiants sortent de la fac avec un déficit de confiance (concernant la forme de l'enseignant, qui valorise mal l'étudiant), cette fracture (sur le fond, concernant notamment les disciplines enseignées) accentue ce sentiment. Alors que l'idée, c'est de travailler ensemble, de créer son métier et de l'inventer. Et que nous avons forcément quelque chose à apporter à la société (enfin j'ose espérer!). Quand on sort de l'Université, nous ne sommes pas seulement des rats de bibliothèque. Il faut simplement donner la confiance et l'envie. Lors de la création d'une entreprise, on formalise les leçons après coup, pas comme à l'école, où on a les leçons en premier et la pratique ensuite. C'est une autre façon de penser et de faire. Il faut donc décloisonner les différents mondes.


 

J'ai appris beaucoup de mots nouveaux et je me suis dis que je devais vivre dans un monde parallèle au monde de tous ces gens! Les moocs, accélérateurs de start-up, incubateurs de start-up, business angel et autre love money font désormais partis de mon vocabulaire.



Un intervenant rappelle qu'il n'y a pas de "chemin naturel" ou "prédéterminé", on n'est pas obligé de subir sa vie (combat idéologique entre Durkheim et Sartre) (petite annotation de moi-même).



Certaines dirigeantes de grandes entreprises rappellent que si le numérique c'est fabuleux, ça peut être aussi une source de stress car être connectée 24h/24h à son entreprise, c'est moyen bof quoi. Certaines entreprises ont d'ailleurs choisi d’interdire les mails pro entre 21h et 7h du matin. Comme toute chose, la pratique du numérique se doit d’être encadrée.



Les intervenants soulignent qu'il y a beaucoup d'argent en France, qui dorment sur les comptes d'épargne bien au chaud dans les banques, alors qu'il en manque beaucoup pour lancer les start-up. Ils prennent l'exemple de l'Angleterre, où il existe un crédit d’impôt (30% du montant investi) lorsqu'un particulier investi. Je trouve que c'est une idée qu'elle est formidable. De plus, ces jeunes entrepreneurs ne cherchent pas seulement de l'argent, ils cherchent aussi à être accompagnés, et à être aidés pour décrocher leur premier contrat, car c'est le premier contrat qui détermine leur crédibilité  sur le marché.



Ils faut donc créer des ponts entre l'élite (celle qui a le savoir et l'argent) et les autres (qui ont les idées).

 

 

De très grands groupes étaient présents, des accélérateurs de start-up, des experts du numériques. Bref, des échanges très instructifs sur le sujet. J'irai à la 3e édition!




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Un point sur l'organisation : l’auditorium du Palais Brongniart est grand, spacieux, agréable et confortable. Les organisatrices-présentatrices avaient la pêche et était très jolies dans leurs robes Courrèges (je veux la meme). Les intervenants avait l'air contents d’être là. Et pendant, la pause j'ai eu le droit à du Kusmi Tea ( à boire et à emporter). Bref un très bon moment.


Bonne soirée!!!

mardi 11 mars 2014

Je suis là!!

Bon oui, j'ai un peu disparu. Mais ce n'est pas de ma faute. Je n'ai plus internet chez moi donc tout de suite ça complique les choses et je n'ai plus de téléphone non plus. Il est reparti à l'usine tout ça tout ça.


Donc ma connectivité est très limités à cause de tous ces petits soucis techniques.


Heureusement, j'ai emploi du temps tellement chargé qui me permet d'oublier les joies de l'internet que je n'ai plus.


En effet, je me suis inscrite à un atelier d'écriture, 3h le jeudi, pendant lequel j'ai écrit un biographème sur un gardien de rhinocéros en Afrique. A la fin, on lit notre prose devant tout le monde, et c'est un exercice très intéressant, qui s'apparente plus à de la psychologie qu'à de la littérature!


J'ai aussi été à La Journée de la femme digitale, et cela fera l'objet d'un article entier. C'était absolument formidable. Je fourmille d'idée, je voudrais lancer ma boite, apprendre à coder etc.


Je m'occupe toujours de l’association des doctorants de ma fac, et je me présente aussi aux conseils centraux de l'université, ce qui me prend pas mal de temps finalement.


Donc voilà, j'espère revenir très rapidement!!!


Bon mardi.


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