Il y a 17 ans, il faisait beaucoup plus froid que ça. En effet, quelques flocons de neige étaient tombés. Pas de ceux qui tiennent sur les trottoirs et qui se transforment en une masse boueuse ou en dangereux verglas. Le genre de flocons qui annoncent l'hiver.
Il y a 17 ans, le 26 novembre, c'était aussi un mardi. Le matin, on avait patinoire avec l'école, à Meudon. On y a été en bus affrété par la Ratp.
Ma mère, elle, elle n'avait pas patinoire. Non, elle, elle allait à la maternité. Ça doit être un peu moins marrant que la patinoire.
Le bébé devait arriver le samedi d'avant. Mais il se fait un peu attendre. Tu m'étonnes, on se les caille grave. Mais c'est bientôt Noël par contre.
Le soir, mon père vient nous chercher à l'école. Déception. Ma sœur ne veut vraiment pas nous voir. Elle n'est pas encore née. Comme quoi, ma mère aurait pu venir à la patinoire le matin hein. Bref, il nous emmène chez des amis de la famille, et repart à la maternité. Bon, nous on joue à cache-cache, on crie, on rit. La vie est belle.
Le soir, mon père revient. Et là, ça y est, j'ai une sœur. Elle est (enfin) née. En ce mardi 26 novembre 1996. Certes, il a fallu que j'attende pour la voir (le lendemain, ou le surlendemain, je ne me souviens plus vraiment...), mais ce jour là, je m'en souviendrai toute ma vie.
Tous les ans, comme une mamie qui ressasse les mêmes histoires indéfiniment, je lui raconte ma journée du 26 novembre 1996.
Voilà. Une fois de plus, je la raconte. Il faut dire que ce n'est pas une journée comme les autres.
Joyeux anniversaire la petite sœur.
J'ai lu un post que j'ai beaucoup apprécié ici-même => The sauce of my spaguetti. C'est une sorte de tag : "il s’agit de répondre à quelques questions sur ce que l’on faisait une
certaine année (ladite année vous étant attribuée à votre demande par la
blogueuse qui répond aux questions), et répondre aux mêmes questions
sur ce que l’on fait maintenant".
J'ai voulu me prêter au jeu et j'ai été réclamée une année (oui je sais c'est moche de réclamer... mais pour le coup, c'est le principe!) et hop, j'ai eu l'année 2000.
Souviens-toi de l'an de 2000...
La première chose qui m'est venue à l'esprit c'est bien évidemment la jour de l'an, on était au 13e étage d'un immeuble avec vue sur la Tour Eiffel, et je me souviendrai toute ma vie de ce spectacle grandiose!!! C'était fou.
La seconde chose qui m'est venue à l'esprit c'est le foot... et oui vous avez bien lu, le foot, car ce n'était rien d'autre que la Coupe d'Europe avec en juillet une finale France-Italie que les français ont remporté (et oui, il fut un temps où les Bleus gagnaient des matchs), et comme pour 1998, j'étais en colonie de vacances, et on a regardé le match.
Voilà ce qui m'a marqué.
Maintenant je vais répondre aux questions.
En 2000
ce que je conduis : j'ai 12 ans, et donc je n'ai pas le droit de conduire. Mais je rêve secrètement d'un scooter.
où je vis : chez mes parents, dans une chambre verte, en banlieue parisienne.
où je travaille : je suis en 5e au collège du quartier. La meilleure année de toute ma scolarité. Le fameux voyage scolaire en Bourgogne. Et la seule année où j'ai été dans la meme classe que celle qui est aujourd'hui encore mon amie la plus proche.
qui est dans mon cœur : Clément, Manuel et les autres. Déjà, la stabilité me fait défaut...
mon groupe favori : j'en ai aucun, mais si je vous avoue ce qu'on écoutait lors de nos boums, y a moyen que vous renonciez définitivement à lire mon blog... : Yannick, Ces soirées-là pour déhancher notre popotin et R.Kelly, If I could turn pour les slows avec les mecs (hihihihhihi).
mon hobby : aucun truc en particulier, déjà le papotage avec les copines, la lecture (je dévore les romans historiques), un peu de tennis...
En 2013
ce que je conduis : la voiture de mes parents, on l'appelle le char allemand, un truc où je peux mettre 6 potes dedans, j'ai eu une Nissan Micra que j'ai aimé très très fort et qui me manque ainsi qu'une Skoda Fabia que j'ai détesté très très fort.
où je vis : toujours chez mes parents, toujours en banlieue parisienne, ma chambre est rose, (je suis quand même partie une année et puis je suis revenue).
où je travaille : je n'ai pas de "vrai" travail car je fais une thèse, je suis en 3e année, je soutiendrai (si tout se passe bien) d'ici 2015. J'ai hâte.
qui est dans mon cœur : un pilote de chasse blond aux yeux bleus qui ne veut pas de moi.
mon groupe favori : je n'ai toujours pas de groupe favori... bon j'avoue j'aimerais bien aller voir Indochine en concert...
mon hobby : toujours pas de hobby, j'aime toujours papoter avec les copines... (ça doit être ça ma plus grande passion en fait).
Si ça vous intéresse, je vous donnerai une année!!
Bon dimanche!
Hier c'était le 11 novembre.
Chouette, un jour férié.
Mais pas que.
On commémore la fin des combats La fin d'une guerre fratricide, mondiale, dévastatrice, qui entrainera dans son sillon la Seconde, qui deviendra l'apothéose de l'horreur.
Sur mon blog, ne n'aborde pas les sujets "sérieux".
Toutefois, mon livre préféré n'est autre qu'A l'ouest rien de nouveau d'Erich Maria Remarque. Et ce depuis que je l'ai lu en 4e. Je le relis parfois. Il est bouleversant. Il raconte cette guerre. Et toutes les autres. Leur absurdité.
On suit un soldat, un allemand, lors de la Grande Guerre : " Quand nous partons, nous ne sommes que de vulgaires soldats, maussades
ou de bonne humeur et, quand nous arrivons dans la zone où commence le
front, nous sommes devenus des hommes-bêtes? Témoignage d'un simple
soldat allemand de la guerre de 1914-1918, À l'ouest rien de nouveau,
roman pacifiste, réaliste et bouleversant, connut, dès sa parution en
1928, un succès mondial retentissant. Il reste l'un des ouvrages les
plus forts dans la dénonciation de la monstruosité de la guerre." (source Amazon)
Bien sur, ce n'est un roman forcément joyeux, mais il se lit bien, il se lit vite, une fois qu'on l'a entre les mains, on ne le lâche pas. L'auteur a fait la guerre (d'où le réalisme) et cet ouvrage pacifique a été brulé lors des autodafés nazis en 1933. Car il n'y a pas d'allemands, de français, de belges, d'anglais ou d'américains. Il n'y avait que des jeunes garçons (et des moins jeunes) qu'on envoyait à une mort certaine. Chair à canon d'enjeux qui les dépassaient.
Il n'y a plus de poilu. Et l'année prochaine on "fêtera" le centenaire. En effet, il ne faut pas oublié. Le 11 novembre n'est pas une commémoration d'une victoire, nous avons tous perdus.
En Angleterre (souvenez-vous j'y ai vécu un an), ils portent un coquelicot (poppy) pour se rappeler, j'en acheté un. Cela vient d'un poème "In Flanders fields" écrit par John McCrae qui, comme Erich Maria Remarque a connu l'horreur des tranchées.
Je le porte pour tous les morts de toutes les guerres. Oui car mon poème préféré c'est Le dormeur du val, d'Arthur Rimbaud. Oui, mon coté utopiste. Idéaliste. Pacifique.
Je vous laisse en poésie.
Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
Arthur Rimbaud
In Flanders Fields
In Flanders fields the poppies blow
Between the crosses, row on row,
That mark our place; and in the sky
The larks, still bravely singing, fly
Scarce heard amid the guns below.
We are the Dead. Short days ago
We lived, felt dawn, saw sunset glow,
Loved and were loved, and now we lie
In Flanders fields.
Take up our quarrel with the foe:
To you from failing hands we throw
The torch; be yours to hold it high.
If ye break faith with us who die
We shall not sleep, though poppies grow
In Flanders fields.
John McCrae
Super Copine m'a proposé de l'accompagner à une avant-première dans le cadre du mois du film documentaire qui avait lieu à la bibliothèque publique d'information (BPI pour les intimes, à Beaubourg).
Cette manifestation culturelle en est à sa 14e édition et rassemble près de 1800 structures qui organisent les projections : médiathèques, salles de cinéma, associations, musées, centres culturels, écoles, universités, que ce soit en France ou l'étranger. Au total, 3000 séances de 1700 films sont proposés au public. L'année dernière, il y a eu environ 148 000 spectateurs.
Le film documentaire reste un genre peu visible au cinéma, et tout le pari de cette manifestation est de développer sa visibilité. C'est un très beau projet dont j'admets ne jamais avoir entendu parlé auparavant...
En avant- première, j'ai pu voir le film L'Escale de Kaveh Bakhtiari. Nous a été proposé, juste avant, un court-métrage restauré sur le rock datant des années 60 (une petite merveille) et des bandes annonces d'autres documentaires.
Synopsis du film L'Escale sur Premiere.fr :
"A Athènes, le modeste appartement d'Amir, un immigré iranien, est devenu
un lieu de transit pour des migrants qui, comme lui, ont fait le choix
de quitter leur pays.
Mais la Grèce n’est qu’une escale, tous espèrent rejoindre d’autres pays occidentaux.
Ils
se retrouvent donc coincés là, chez Amir, dans l’attente de papiers, de
contacts et du passeur à qui ils confieront peut-être leur destin.."
C'est un très beau documentaire, et plonger dans le quotidien d’immigrés était une expérience forte, partager les moments de doute, de peur, de tristesse, mais aussi les fous rire, les joies, les réussites. Il y a quelques moments de pure grâce (sur une plage avec un enfant notamment). Si vous voulez allez plus loin, je vous conseille la critique de Telerama. Et surtout je vous conseille ce film.
Bon lundi.
Beauté & Co
Alors, j'avais fais le plein de produits Jeanne en Provence, depuis le temps que j'en rêvais, mais voilà, je n'aime pas du tout. J'en ai filé à ma sœur, à ma mère et il m'en restait. J'en avais fait part sur le blog il y a quelques temps et Bloody Anna m'a dit de penser à elle si je ne savais vraiment pas quoi faire de tous ces produits. Alors je lui ai envoyé par la poste les crèmes à l'amande douce, les crèmes à la rose et les crèmes au karité (si mes souvenirs sont bons). Et en échange, elle m'a proposé des vernis qu'elle ne voulait plus. Ainsi, j'ai pu augmenté ma déjà très grande collection par 4 nouvelles teintes ; un joli rouge, un nacré, un doré métallique et un bleu métallique. J'ai hâte de les essayer. Pour le moment, je n'ai pas encore eu l'occasion, je sors d'une manucure en institut (une jolie french, ma mère m'a demandé si le blanc au bout des ongles c'était fait exprès, LOL quoi).
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Mon stock de vernis |
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Les nouveaux arrivants |
Éléphants & Co
Super Copine est revenue de Thaïlande (2 semaines, c'est long dis donc), et elle m'a rapporté plein d’éléphants. Pas des vrais, car le surplus à payer à l’aéroport aurait été assez conséquent, donc j'ai deux jolis carnets et un porte-clefs, je l'ai appelé Napoléon l’éléphant (j'ai déjà un ours et une vache hollandaise, mes clefs, c'est un peu la classe à Dallas quoi).
Elle m'a ramené aussi tous les produits des hôtels. Oui, j'aime bien testé tout les trucs de ce genre, elle me connait bien quand même. J'ai été vachement (éléphantement?) touchée par ces petites attentions.
Félins & Co
Il y a 10 jours c'était Halloween, je ne vous apprends rien a priori. J'avais donc une soirée, Super Copine avait son masque Tigre et moi j'étais en Catwoman : pantalon simili cuir, petites bottines noires brillantes, polo noir moulant et oreilles de chat. Soirée super sympa, avec des gens différents, des gens cools, des gens maquillés, des gens déguisés, des gens qui jouaient de la musique.
Exposition & Co
Napoléon avait trois sœurs : Élisa, Pauline et Caroline a qui il a donné des royaumes, des duchés et de qui il était très proches. En tant que reines, elles ont laissé des traces en Italie (Florence, Rome et Naples), en tant que sœur d'un homme hors-norme, elles ont été actrices et spectatrices d’événements extraordinaires qui ont fait la France et l'Europe.
J'ai été déçue. Tant par l'exposition que par le musée Marmottan. Je crois que j'ai tellement été bluffé par la qualité de l'exposition Désirs et volupté à l'époque victorienne au musée Jacquemart André que celle-ci me semblait bien fade. Tout comme l’hôtel particulier, celui de Jacquemart André est éblouissant, celui de Marmottant un peu moins... Je ne recommanderai pas particulièrement cette exposition.
Bon dimanche!
Je rappelle le concept (petit copié-collé direct from Salon de thé berlinois) :
“Le liebster award a été crée par Hellocoton
pour faire connaître les nouveaux blogs qui ont moins de 200 abonnés
sur leur site. Le principe : un(e) blogueur(se) vous a tagué, vous avez
donc reçu une série de 11 questions qui sont destinées à mieux vous
connaitre. De votre coté, heureux(se) de cette nouvelle, vous acceptez
de dévoiler qui vous êtes en répondant à ces fameuses questions mais
aussi en ajoutant 11 choses personnelles sur vous. Et à votre tour vous
devez créer une nouvelle série de 11 questions et taguer 11 blog en leur
expliquant ces règles !”
Alors, comme d'habitude c'est avec plaisir que je vais répondre aux questions qui m'ont été posées, par contre je ne tague personne et je ne dévoile pas 11 choses personnelles sur moi (je ne sais jamais quoi dire, c'est la page blanche à chaque fois!!!)
1 -Ta destination voyage de prédilection ?
Les iles britanniques. Comme ça, ça n'a pas l'air glamour, et pourtant... C'est tellement beau. Et je m'y sens chez moi.
2 – Pourquoi as-tu ouvert ton blog ?
Vaste question... Pour y partager mes joies et mes peines. Écrire mes joies les rend éternelles, écrire mes peines les amenuise.
3 – Tu fais-quoi dans la vie ?
Doctorante en droit, j'entame ma 3e année (soit la 8e au total...)
4 – Plutôt chien ou chat ?
Chien.
5 –Ton pire cauchemar ?
Être perdue. Dans une ville, un magasin, une gare. C'est l'angoisse totale.
6 – Le bouquin que tu as lu dernièrement.
Le dictionnaire amoureux de la Bretagne. J'avoue je ne l'ai pas encore totalement fini. Ça compte quand même?
7 – Que ferais-tu à Berlin si tu y étais ?
Le zoo. On m'a dit qu'il était vraiment bien.
8 – Tu penses à quoi, là, maintenant ?
Que je passerai bien mon samedi dans mon pyjama pilou-pilou.
9 – Plutôt beau brun ténébreux ou bobo intello ?
Bobo intello...
10 – Ton genre de musique ?
Tout. De Lully à Eminem.
11 – Ordonnée ou chaotique ?
Chaotique. Sauf dans le travail. Ou je suis ultra ordonnée. Comme quoi, les deux sont conciliables.
Bon samedi!!!
Bon j'ai un peu délaissé mon blog ces temps derniers, mais me revoilà pour de bon!!!
Si j'ai disparu de la surface de la terre, c'est parce que j'étais dans les salles obscures profiter des bons et moins bons films sortis récemment (et moins récemment d'ailleurs).
J'ai été voir :
Le Majordome
Prisoners
et Gravity
Le Majordome
"Le jeune Cecil Gaines, en quête d'un avenir meilleur, fuit, en 1926, le
Sud des États-Unis, en proie à la tyrannie ségrégationniste. Tout en
devenant un homme, il acquiert les compétences inestimables qui lui
permettent d’atteindre une fonction très convoitée : majordome de la
Maison-Blanche. C'est là que Cecil devient, durant sept présidences, un
témoin privilégié de son temps et des tractations qui ont lieu au sein
du Bureau Ovale.
À la maison, sa femme, Gloria, élève leurs deux
fils, et la famille jouit d'une existence confortable grâce au poste de
Cecil. Pourtant, son engagement suscite des tensions dans son couple :
Gloria s'éloigne de lui et les disputes avec l'un de ses fils,
particulièrement anticonformiste, sont incessantes."
Certes, cela fait longtemps qu'il est à l'affiche mais je n'avais toujours pas trouvé le temps d'y aller. Et j'hésitais un peu. Les critiques n'étaient pas exceptionnelles, et puis, trop de bons sentiments, tue le bon sentiment quoi.
Mais j'ai bien aimé. Je n'ai pas adoré non plus. J'ai juste passé un moment sympa. Et puis, j'ai vu Reagan sous un autre jour. J'ai trouvé les acteurs convaincants, et la lutte des noirs américains est un sujet qui m'interpelle (même si je ne suis ni noire ni américaine, juste en tant qu’être humain, c'est un combat universel, enfin, je l'espère).
Prisoners
"Dans la banlieue de Boston, deux fillettes de 6 ans, Anna et Joy, ont
disparu. Le détective Loki privilégie la thèse du kidnapping suite au
témoignage de Keller, le père d’Anna. Le suspect numéro 1 est rapidement
arrêté mais est relâché quelques jours plus tard faute de preuve,
entrainant la fureur de Keller. Aveuglé par sa douleur, le père dévasté
se lance alors dans une course contre la montre pour retrouver les
enfants disparus. De son côté, Loki essaie de trouver des indices pour
arrêter le coupable avant que Keller ne commette l’irréparable… Les
jours passent et les chances de retrouver les fillettes s’amenuisent…"
Je ne savais pas quel été le sujet du film quand j'y suis allée, j'avais juste vu les affiches dans le métro et c'est tout.
Et c'est génialissime. Il se dégage une atmosphère particulière, d'une Amérique pluvieuse, fondamentaliste, triste, violente, vengeresse, oppressante... Et les acteurs s'effacent derrière leurs personnages, un très bon polar, que je conseille vivement!
Gravity
"Pour sa première expédition à bord d'une
navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en
ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky.
Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace,
une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et
Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans
l'univers. Le silence assourdissant autour d'eux leur indique qu'ils ont
perdu tout contact avec la Terre - et la moindre chance d'être sauvés.
Peu à peu, ils cèdent à la panique, d'autant plus qu'à chaque
respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d'oxygène
qu'il leur reste.
Mais c'est peut-être en s'enfonçant plus
loin encore dans l'immensité terrifiante de l'espace qu'ils trouveront
le moyen de rentrer sur Terre..."
Oui c'est bien, mais mon coté claustro a pris le dessus et j'ai eu mal au ventre pendant toute la projection. C'est oppressant. C'est beau par contre. Même en 3D.
Voilà, à très vite.