samedi 28 décembre 2013

2013 tire sa révérence

Vous allez me dire "encore un tag"!


Et oui. Et en plus, je n'ai même pas été taguée. C'est de mon propre chef que j'ai décidéde répondre à toutes ces questions sur l'année qui s'est écoulée.


Et puis, j'aime les tags, ça m'oblige à sortir de ma torpeur hivernale.


Cette fois-ci, c'est sur le blog de Claire que j'ai trouvé ce petit tag.


Je vous laisse donc découvrir!

 



1. Qu'est-ce qui a le plus changé dans ta vie cette année ?

Le sport et les garçons. Le sport, je vous en parle un peu plus bas. Et les garçons, pas besoin de s'attarder sur la question (et puis, de toute façon, je n'ai toujours pas trouvé le décodeur pour comprendre ce qui se passe dans leur petit cerveau) (malheureusement).


2. Quel est le produit maquillage que tu as utilisé toute l'année ?

C'est l'occasion de vous parler de ma routine beauté du matin :

  • elle commence par une crème Keracnyl PP de chez Ducray,

  • une base lissante (celle de chez Sephora),

  • puis une BB crème, celle de L'Oréal Paris,

  • un anti-cernes (Smashbox),

  • et enfin, une poudre (Miss Helen).

Si je me maquille, je mets du rouge à lèvre framboise de Revlon, du mascara (de chez Une) et un petit trait d'eye-liner (Sephora).


Voilà, vous savez tout ce qui se passe le matin devant mon miroir.

3. Quel est le sac que tu as le plus porté ?

Celui que j'ai eu pour mes 25 ans, un Gérard Darel bleu sombre que j'ai emmené partout avec moi.


4. Quelle a été ta tendance (mode) préférée de l'année 2013 ?

Euh... Quelles étaient les tendance de 2013 déjà...?

 

 

5. Quel est ton meilleur souvenir avec ta famille ?

L'Aveyron avec ma sœur et mes parents. Mais je vis encore chez eux. Et tous les soirs, c'est un peu la foire. Bref, on ne s'ennuie jamais.

 

 


6. Quel est ton meilleur souvenir avec tes amis ?

Impossible de choisir!!

 

 

7. Quel est le plus grand changement osé et audacieux dans ta collection maquillage cette année ?

L'anti-cerne. Pour le commun des mortels, cela n'a rien d'audacieux, c'est même naturel, mais c'est la première année qu'il appairait dans la routine. J'ai glané les conseils d'expertes autour de moi pour mettre mes yeux en valeur comme il faut.


8. As-tu appris quelque chose de nouveau cette année 2013 ?

Oui, certainement. J'ai appris plein de choses, je grandis, mais pas de grandes découvertes philosophiques pour cette année 2013...

9. As-tu de nouvelles obsessions ?

Le sport!!! Et oui, comme quoi tout fini par arriver. Cette année fut l'année du sport. J'ai réussi à me motiver, et même y aller avec plaisir. Ça me défoule, ça me déstresse, je ne sais pas s'il y a un quelconque changement dans mon corps, mais je sais que j'en ai besoin.


10. As-tu commencé une quelconque nouvelle collection ?

Je continue à collectionner les vernis, et les rouges à lèvres. Mais surtout coté livres qu'on peut parler de collections. Je fais des achats thématiques ("Animaux" et "Napoléon"), ou par auteurs (Stephan Zweig et Antoine de Saint-Exupéry). Et puis, j'ai eu le premier tome de Kriss de Valnor (une bd) alors je pense m'acheter tous les autres!

11. Est-ce que 2013 est ton année préférée ? Pourquoi ou pourquoi pas ?

Non, j'ai l'impression que cette année est juste la continuité de celle d'avant et la prédécesseure de celle d'après. C'était bien. Mais rien de révolutionnaire non plus.


12. Quel a été ton mois préféré de cette année ?

Les mois d'été, parce que j'ai pu rattraper mon manque de soleil.

 

 

 

13. Quelles sont tes résolutions pour la nouvelle année ?

Continuer le sport, avancer ma thèse, m'amuser, prendre (enfin) des cours d’œnologie.




Bon week end!

jeudi 26 décembre 2013

Des cadeaux

Voilà un petit aperçu des cadeaux que j'ai eu sous le sapin hier matin!


Un pyjama 3 pièces pilou-pilou rose... Anti-glamour à souhait, mais tellement confortable. Ma sœur dit que je ressemble à une fraise Tagada Pink dedans!






Un ensemble jupe et haut, pour contrebalancer le taux de séduction du pyjama pilou-pilou!




Le dernier Thorgal et le premier Kriss de Valnor.



Une petite comédie romantique que j'affectionne particulièrement!





Et un sèche-cheveux à emporter partout!!!






J'espère que vous avez un très bon Noël, et que vous avez été gâtés!!



Bien à vous.




dimanche 22 décembre 2013

La mer...

J'ai été à la mer, en Normandie. Ça faisait peut-être 8 mois que je ne l'avais pas vu. Et encore, la dernière fois, c'était à Marseille, et pour moi la Méditerranée, aussi belle soit-elle, ce n'est pas une "vraie" mer... En effet, quand j'étais petite, alors que nous étions sur la bateau pour la Corse, j'étais très inquiète car il n'y avait pas de marée... J'étais habituée à la Bretagne, à la mer montante, descendante, impressionnante, surprenante, à ces plages immenses puis mangées par l'eau...


Revenons à la Normandie. Il faisait très beau, et on avait une visibilité jusqu'au Havre. Comme nous sommes en hiver, sur les photos, on a l'impression d’être dans un tableau de Magritte, ce qui est caché du soleil est très sombre, alors que le ciel était très bleu et très clair. 


Qu'il est agréable de se promener, de regarder vers l'immensité de la mer, puis vers le bord de mer, avec les maisons toutes plus jolies les unes que les autres.


Voilà, malgré mon téléphone qui fait des photos moches et qui a une saleté que je n'arrive pas à ôter (rrrrr), je vous prête un peu de mon ciel bleu et de ma mer.











Bon dimanche!










samedi 21 décembre 2013

Les livres de ma vie

Voici un tag qui me vient de chez Fedora : il faut que je liste les livres qui m'ont marqué d'une façon ou d'une autre. J'ai suivi son conseil de ne prendre que quelques minutes et de saisir tous les livres qui me venaient instantanément à l'esprit, il y en a beaucoup qui remontent à l'enfance et à l'adolescence, si les voyages forment la jeunesse, les livres aussi (mais vous me direz que le livre est une forme de voyage) (et je serai d'accord avec vous).


Alors alors voici ce top 8 tant attendu :





Sources

Croc-Blanc de Jack London



Quand j'ai lu le tag, c'est le premier livre qui m'est venu à l'esprit. Je l'avais eu pour mes 8 ans, dans une très belle collection, et je me souviens l'avoir lu les samedis et dimanches matins en attendant une heure décente pour aller réveiller mes parents. Et j'ai voyagé dans le grand nord à coté d'un loup. Et c'était formidable. J'ai encore les images et les sensations. 

 

Présentation en une phrase :  on suit les aventures de Croc Blanc, un chien loup dans le Canada à l'époque de la ruée vers l'or, et sa confrontation avec les hommes dans tout ce qu'elle peut avoir de plus belle et de plus terrible.







François le Bossu de la Comtesse de Ségur

 

J'ai lu quasiment tous les ouvrages de la Comtesse de Ségur dans mon enfance, et celui qui m'a alors le plus touché c'est celui-ci. De même que le précédent, j'avais une très belle collection, héritée de ma grand-mère, qui sentait le passé! Certes, les histoires de la Comtesse de Ségur, c'est plein de bons sentiments, mais parfois ça fait du bien.

 

Présentation en une phrase : un petit garçon infirme se lie d'amitié avec une petite fille, qui l'accepte comme il est, avant que cette amitié ne se transforme en amour. (j'en ai encore des frissons, comme quoi, je dois encore y croire, à l'amour tout ça!)





A l'ouest rien de nouveau d'Erich Mariah Remarque

Sources

 

Je vous ai déjà parlé de ce livre, je l'ai lu en 4e, et qui depuis, est devenu mon préféré, un des rares de que j'ai pu lire plusieurs fois. Certes le sujet n'est pas léger, mais il reste très facile à lire. C'est peut-être ça, sa grande force. Très belle dénonciation de la guerre.


Présentation en une phrase :  on suit Paul, jeune soldat allemand, dans les tranchées de la Première Guerre Mondiale.









La saga Bleu, Blanc, Rouge (Mariella, Mathilde, Sarah) de Max Gallo 

Sources

Le début de ma passion pour les romans historiques. Mariella, le premier tome, est le tout premier roman historique de "grands" que j'ai lu. Mon père me l'avait ramené des courses, je devais avoir 11-12 ans, et ce fut le début d'une passion dévorante. Pas forcément pour cet auteur (je n'ai pas réussi à me plonger dans sa saga sur Napoléon, ni sur celle sur les empereurs romains, alors que ces histoires de femmes sont formidables, dans mes souvenirs en tout cas!)

 

 

Présentation en une phrase : on suit la vie de femmes qui ont traversé les événements qui ont fait la France de la Révolution française à l'Occupation.






Sources











La saga des Catherine de Juliette Benzoni


Après avoir découvert les romans historiques sous la plume de Max Gallo, j'ai enchainé avec Juliette Benzoni, je dois en avoir 70. Ils ont bercé mon adolescence. Aujourd'hui, j'ai grandi, je suis beaucoup moins fan, mais ils ont une place particulière dans mon cœur, pour toutes les aventures, toutes les périodes de l'histoire que j'ai traversé grâce à eux, tous ces grands personnages historiques que j'ai eu l'impression de rencontrer... La saga des Catherine est ma première découverte de cette auteure, j'ai pleuré, j'ai frissonné, bref, j'ai aimé!


Présentation en une phrase : on suit les aventures de Catherine, dans les tourmentes de l'amour et de l'Histoire, la Bourgogne et la France se déchirent.




Sources

Le dernier jour d'un condamné de Victor Hugo

 

Je l'ai lu en colonie de vacances, en 2000, ce fameux mois de juillet, ou l'équipe de France de football devint championne d'Europe face à l'Italie. C'est pour ça que je m'en souviens hein. Et ce livre est court. Et ce livre est fou. Il devrait être obligatoire de le lire. Victor Hugo était tellement en avance sur son temps, ses idées, ses mots, ses combats, il est presque la perfection. Et cette diatribe contre la peine de mort est tout simplement efficace. A 2 euros, le librio, je devrais en acheter un stock et l'offrir à quiconque me dit "non mais pour tel type de crime, tu vois...", Euh non je ne vois pas.

 

Présentation en une phrase :  on suit les pensées d'un condamné à mort, on ne saura pas pour quel crime il a été jugé, il exprime ses émotions, sa vie d'avant, les gens qu'il aime...




Sources

Saga de Tonino Benacquista


Quelque chose de plus léger, de beaucoup plus léger, on entre dans un univers complétement loufoque, et c'est formidable. 

 

 

Présentation en une phrase : des scénaristes au chômage sont engagés pour écrire une sitcom qui passera au milieu de la nuit, et qui connaitra, au contraire des prévisions, un succès fou...







Sources

Grands Zhéros de l'histoire de France de Clémentine Portier-Kaltenbach

 

J'adore l'histoire, j'adore les romans historiques, j'adore les biographies des hommes illustres, et voici un livre, qui derrière son titre bon enfant, est très bon, et quasiment indispensable pour avoir un autre aperçu de l'histoire, on part à la découverte de ces hommes qui "firent parler d'eux non pour le meilleur, mais pour le pire", comme ce ministre qui à la veille de la Première Guerre Mondiale refuse que les uniformes des soldats changent, le bleu roi et le rouge, c'est magnifique, mais les gamins français se feront tirer comme des perdrix par les allemands...



Merci à Fedora pour ce tag, qui m'oblige à sortir de mon hibernation hivernale!!


Bon week end!!!















mardi 17 décembre 2013

Robes&Co

En mai, je suis de mariage. Super Copine convole en justes noces et je suis témoin. Je dois porter une robe bleu nuit, et j'ai trouvé celle qu'il me faut, chez Asos, à un prix défiant toute concurrence (je l'ai eu à 35 euros au lieu de 52) :








Bon faut l'imaginer en bleu, comme celle du haut! et je suis un peu moins parfaite que le mannequin.







Maintenant, il faut que je trouve une veste, de jolies chaussures (et confortables), et une coiffure de folie.


Concernant ce dernier impératif, je fais des essais réguliers au Comptoir à coiffures 365c au Bon Marché. A chaque fois que j'ai une soirée, je tente une nouvelle coiffure, pour voir ce qui me va, et ce que je pourrai demander le jour J.

 

L'idée de ce comptoir est de proposer aux clientes des coiffures en 15 minutes sans shampooing et sans coup de ciseaux pour un prix entre 15 et 25 euros. La collection change toutes les saisons, mais ils proposent aussi leurs bestsellers, et on peut même venir avec une idée et/ou avec un de nos accessoire préféré pour qu'il soit incorporé à la coiffure.



Pour le moment j'ai testé :


Merisier






Et celle-ci.


De plus, j'ai offert celle-ci à ma sœur pour sa soirée d'anniversaire.




On peut trouver le comptoir dans 2 endroits à Paris :


  • au monop' des Abbesses

  • et au Bon Marché



Moi, je vais à celui du Bon Marché, le plus proche de chez moi, à chaque fois, les coiffeuses ont été très sympathiques, très professionnelles, agréables, et je suis ressortie enchantée, donc je vais continuer!!!

 

Bon mardi!













mardi 3 décembre 2013

Les archives nationales de Pierrefitte sur Seine

Les archives nationales ont déménagé depuis un an du centre de Paris vers la banlieue nord. En effet, elles ont quitté les magnifiques hôtels particuliers qu'elles occupaient dans le quartier du Marais (l’hôtel de Soubise notamment, et celui de Rohan) pour un bâtiment ultra moderne et ultra lumineux à Pierrefitte sur Seine.


Je n'ai jamais été dans les anciens locaux des archives nationales, où se trouvent encore les fonds médiévaux, mais pour m’être promenée plus d'une fois dans le Marais, les bâtiments sont absolument superbes. 


Alors, je ne pensais pas en allant à Pierrefiite revenir avec des étoiles dans les yeux. Et ba si. Le bâtiment est très chouette (assez simple finalement), très aérien mais surtout il dégage une sérénité, un calme certain, une atmosphère reposante. Et c'est le but recherché. Un lieu de recherche, mais loin de l'austérité qu'on associe inconsciemment aux archives.

 

Les hôtels particuliers du Marais dans lesquels se trouvaient la mémoire de la France étant devenus trop étroits et les conditions de conservation trop archaïques, les archivistes se sont battus pour obtenir la construction d'un bâtiment tout entier dédié aux archives.


Nous avons eu le droit à une visite guidée, le bâtiment est divisé en deux : d'un coté les services administratifs, et de l'autre, un rectangle sans lumière pour les fonds archivistiques.


On a suivi le parcours d'un document, de son arrivée en camion sous scellées à son rangement dans des cartons tout exprès conçus pour les archives.


La suite en photos!


-Le bâtiment vu d’extérieur-




-La maquette du bâtiment tel qu'il devait être à l'origine (dans le bâtiment des archives, les ouvertures ont été limitées), sur le devant, les services administratifs et derrière, le rectangle de 10 étages accueillant les fonds-



-La salle de consultation des inventaires-


-La transition entre le bâtiment des services administratifs avec celui des archives, et une œuvre d'art du 1% culture-




-Une salle de consultation, avec une vue imprenable, malheureusement avec le téléphone c'est bof bof, mais on voit le stade de France et le Sacré Coeur (et on les voit vachement bien en vrai...) (j'aurai du prendre mon appareil photo...)-




-L'acte qui abolit la gabelle, l’impôt sur le sel, signé de la main du roi Louis XVI, émoustillement intense-


-L'arrivée des camions venant des ministères-


-La zone de décontamination, les documents sont mis en quarantaine pour vérifier qu'ils ne sont pas porteurs de champignons ou de bactéries, ou d’agrafes rouillées qui pourraient en une journée détruire des fonds colossaux-


 -Les couloirs du rectangle des archives-


-Une salle de conservation-


 -Le hall d'accueil, selon l'endroit où on se place, le plafond apparait rouge ou gris-


Voilà, j'ai adoré cet après-midi à Pierrefitte!!!


Bon lundi.



dimanche 1 décembre 2013

Et voilà, c'est décembre qui arrive..

... sans prévenir, ou si peu.


Novembre est passé si vite, je me vois encore en Bretagne cet été, qu'ai-je fait tout ce temps?


Pas mal de choses hein, je n'ai pas attendu dans mon canapé que les jours défilent. Je me suis activée.


J'avais pas mal de rendez-vous très importants pour la thèse, entre les préparations, le stress, la mise à jour des lectures, les rencontres avec des pontes, j'ai du me remettre sérieusement au travail, moi qui avais délaissé quelques temps mon centre de recherche et les bibliothèques de droit parisienne...

Et tous mes week-end étaient consacrés aux copines. 

Il y a eu des prises de becs, de jolies rencontres, du stress, du travail, des soirées endiablées, des conversations sans queue ni tête, des chocolats chauds, des collants improbables, des émoticônes rigolotes, des parties de trivial poursuit, bref la vie dans toute sa splendeur.


J'ai aussi commencé les cadeaux de Noël, et comme je suis ultra-organisée, je les ai bientôt fini. Ouais ouais. Vous êtes tous carrément jaloux. Mais je déteste courir partout au dernier moment et me taper tous les gens (vision d'horreur).


Super Copine m'a offert "La box de Noël de Maman Ours". Elle sait que je raffole des box en tout genre et que je suis abonnée à My Little Box, et My Gambette Box, et que j'ai testé BirchBox et son ancêtre, la JolieBox, ainsi que la CosmoBox, et Envouthé, la Thébox...


C'est donc une box sur le thème de l'ours, car comme je vous l'expliquais ici, je marraine une ours, Mamacocha.


Voilà ce qu'il y avait dans la box :

  •  Plein de petits produits de beauté bio (j'aime beaucoup les crèmes qui ressemblent à des pommes'potes)

  •  Un petit ours en peluche, immédiatement baptisée Mamacocha et qui a été rejoindre les siens sur mon canapé (c'est à dire un autre ours, un léopard des neiges, un chien et un renne)

  •  Le calendrier de l'avent de maman ours 2013

  •  Le journal de l'ours

  •  Un livre : L'ours, Histoire d'un roi déchu de Michel Pastoureau

  •  Une paire de chaussettes avec un petit ours blanc qui accroche ses affaires à un petit porte manteau (qui me rappelle ceux de mon école maternelle) (oui, au siècle dernier)


     
  •  

     Bref, une gentille attention, à laquelle je ne m'attendais pas du tout!!! Alors merci Super Copine.

    J'ai fait ma première fondue savoyarde, la saison est ainsi officiellement lancée. 

    Voilà, ici se clôt mon propos, j'espère revenir rapidement, j'ai plein d'articles sous le coude!

    Bonne soirée et bon début de semaine.

    Pour les curieux, et les lecteurs avides de connaissances voici la présentation du livre L'ours sur Amazon

    "Longtemps en Europe le roi des animaux ne fut pas le lion mais l'ours, admiré, vénéré, pensé comme un parent ou un ancêtre de l'homme. Les cultes dont il a fait l'objet plusieurs dizaines de millénaires avant notre ère ont laissé des traces dans l'imaginaire et les mythologies jusqu'au cœur du Moyen Âge chrétien. De bonne heure l'Église chercha à les éradiquer. Prélats et théologiens étaient effrayés par la force brutale du fauve, par la fascination qu'il exerçait sur les rois et les chasseurs et surtout par une croyance, largement répandue, selon laquelle l'ours mâle était sexuellement attiré par les jeunes femmes. Il les enlevait et les violait. De ces unions naissaient des êtres mi-hommes mi-ours, tous guerriers invincibles, fondateurs de dynasties ou ancêtres totémiques. Michel Pastoureau retrace les différents aspects de cette lutte de l'Église contre l'ours pendant près d'un millénaire : massacres de grande ampleur, diabolisation systématique, transformation du fauve redoutable en une bête de cirque, promotion du lion sur le trône animal. Mais l'auteur ne s'arrête pas à la fin du Moyen Âge. Inscrivant l'histoire culturelle de l'ours dans la longue durée, il tente de cerner ce qui, jusqu'à nos jours, a survécu de son ancienne dignité royale. Le livre se termine ainsi par l'étonnante histoire de l'ours en peluche, dernier écho d'une relation passionnelle venue du fond des âges : de même que l'homme du Paléolithique partageait parfois ses peurs et ses cavernes avec l'ours, de même l'enfant du XXIe siècle partage encore ses frayeurs et son lit avec un ourson, son double, son ange gardien, peut-être son premier dieu."

mardi 26 novembre 2013

Il y a 17 ans...

Il y a 17 ans, il faisait beaucoup plus froid que ça. En effet, quelques flocons de neige étaient tombés. Pas de ceux qui tiennent sur les trottoirs et qui se transforment en une masse boueuse ou en dangereux verglas. Le genre de flocons qui annoncent l'hiver. 


Il y a 17 ans, le 26 novembre, c'était aussi un mardi. Le matin, on avait patinoire avec l'école, à Meudon. On y a été en bus affrété par la Ratp. 

 

Ma mère, elle, elle n'avait pas patinoire. Non, elle, elle allait à la maternité. Ça doit être un peu moins marrant que la patinoire.


Le bébé devait arriver le samedi d'avant. Mais il se fait un peu attendre. Tu m'étonnes, on se les caille grave. Mais c'est bientôt Noël par contre.


Le soir, mon père vient nous chercher à l'école. Déception. Ma sœur ne veut vraiment pas nous voir. Elle n'est pas encore née. Comme quoi, ma mère aurait pu venir à la patinoire le matin hein. Bref, il nous emmène chez des amis de la famille, et repart à la maternité. Bon, nous on joue à cache-cache, on crie, on rit. La vie est belle.


Le soir, mon père revient. Et là, ça y est, j'ai une sœur. Elle est (enfin) née. En ce mardi 26 novembre 1996. Certes, il a fallu que j'attende pour la voir (le lendemain, ou le surlendemain, je ne me souviens plus vraiment...), mais ce jour là, je m'en souviendrai toute ma vie.


Tous les ans, comme une mamie qui ressasse les mêmes histoires indéfiniment, je lui raconte ma journée du 26 novembre 1996.


Voilà. Une fois de plus, je la raconte. Il faut dire que ce n'est pas une journée comme les autres.


Joyeux anniversaire la petite sœur.

 

 



dimanche 17 novembre 2013

Souviens-toi de l'an 2000...

J'ai lu un post que j'ai beaucoup apprécié ici-même => The sauce of my spaguetti. C'est une sorte de tag : "il s’agit de répondre à quelques questions sur ce que l’on faisait une certaine année (ladite année vous étant attribuée à votre demande par la blogueuse qui répond aux questions), et répondre aux mêmes questions sur ce que l’on fait maintenant".

 

J'ai voulu me prêter au jeu et j'ai été réclamée une année (oui je sais c'est moche de réclamer... mais pour le coup, c'est le principe!) et hop, j'ai eu l'année 2000.

 

 

Souviens-toi de l'an de 2000...

 

 

La première chose qui m'est venue à l'esprit c'est bien évidemment la jour de l'an, on était au 13e étage d'un immeuble avec vue sur la Tour Eiffel, et je me souviendrai toute ma vie de ce spectacle grandiose!!! C'était fou.

 

Source

 


La seconde chose qui m'est venue à l'esprit c'est le foot... et oui vous avez bien lu, le foot, car ce n'était rien d'autre que la Coupe d'Europe avec en juillet une finale France-Italie que les français ont remporté (et oui, il fut un temps où les Bleus gagnaient des matchs), et comme pour 1998, j'étais en colonie de vacances, et on a regardé le match.

 

 


Voilà ce qui m'a marqué.

 

 

Maintenant je vais répondre aux questions.





En 2000


  • ce que je conduis : j'ai 12 ans, et donc je n'ai pas le droit de conduire. Mais je rêve secrètement d'un scooter. 

     

     

  • où je vis : chez mes parents, dans une chambre verte, en banlieue parisienne.

     

     

  • où je travaille : je suis en 5e au collège du quartier. La meilleure année de toute ma scolarité. Le fameux voyage scolaire en Bourgogne. Et la seule année où j'ai été dans la meme classe que celle qui est aujourd'hui encore mon amie la plus proche.

     

     

  • qui est dans mon cœur : Clément, Manuel et les autres. Déjà, la stabilité me fait défaut...



  • mon groupe favori : j'en ai aucun, mais si je vous avoue ce qu'on écoutait lors de nos boums, y a moyen que vous renonciez définitivement à lire mon blog... : Yannick, Ces soirées-là pour déhancher notre popotin et R.Kelly, If I could turn pour les slows avec les mecs (hihihihhihi).

     


  • mon hobby : aucun truc en particulier, déjà le papotage avec les copines, la lecture (je dévore les romans historiques), un peu de tennis...


En 2013



  • ce que je conduis : la voiture de mes parents, on l'appelle le char allemand, un truc où je peux mettre 6 potes dedans, j'ai eu une Nissan Micra que j'ai aimé très très fort et qui me manque ainsi qu'une Skoda Fabia que j'ai détesté très très fort.


  • où je vis : toujours chez mes parents, toujours en banlieue parisienne, ma chambre est rose, (je suis quand même partie une année et puis je suis revenue).


  • où je travaille : je n'ai pas de "vrai" travail car je fais une thèse, je suis en 3e année, je soutiendrai (si tout se passe bien) d'ici 2015. J'ai hâte.


  • qui est dans mon cœur : un pilote de chasse blond aux yeux bleus qui ne veut pas de moi.


  • mon groupe favori : je n'ai toujours pas de groupe favori... bon j'avoue j'aimerais bien aller voir Indochine en concert...


  • mon hobby : toujours pas de hobby, j'aime toujours papoter avec les copines... (ça doit être ça ma plus grande passion en fait).






Si ça vous intéresse, je vous donnerai une année!!


Bon dimanche!






mardi 12 novembre 2013

Coquelicot & Co

Hier c'était le 11 novembre.


Chouette, un jour férié.


Mais pas que.


On commémore la fin des combats La fin d'une guerre fratricide, mondiale, dévastatrice, qui entrainera dans son sillon la Seconde, qui deviendra l'apothéose de l'horreur.


Sur mon blog, ne n'aborde pas les sujets "sérieux".


Toutefois, mon livre préféré n'est autre qu'A l'ouest rien de nouveau d'Erich Maria Remarque. Et ce depuis que je l'ai lu en 4e.  Je le relis parfois. Il est bouleversant. Il raconte cette guerre. Et toutes les autres. Leur absurdité.


On suit un soldat, un allemand, lors de la Grande Guerre : " Quand nous partons, nous ne sommes que de vulgaires soldats, maussades ou de bonne humeur et, quand nous arrivons dans la zone où commence le front, nous sommes devenus des hommes-bêtes? Témoignage d'un simple soldat allemand de la guerre de 1914-1918, À l'ouest rien de nouveau, roman pacifiste, réaliste et bouleversant, connut, dès sa parution en 1928, un succès mondial retentissant. Il reste l'un des ouvrages les plus forts dans la dénonciation de la monstruosité de la guerre." (source Amazon)

 

Bien sur, ce n'est un roman forcément joyeux, mais il se lit bien, il se lit vite, une fois qu'on l'a entre les mains, on ne le lâche pas. L'auteur a fait la guerre (d'où le réalisme) et cet ouvrage pacifique a été brulé lors des autodafés nazis en 1933. Car il n'y a pas d'allemands, de français, de belges, d'anglais ou d'américains. Il n'y avait que des jeunes garçons (et des moins jeunes) qu'on envoyait à une mort certaine. Chair à canon d'enjeux qui les dépassaient.

Il n'y a plus de poilu. Et l'année prochaine on "fêtera" le centenaire. En effet, il ne faut pas oublié. Le 11 novembre n'est pas une commémoration d'une victoire, nous avons tous perdus. 

En Angleterre (souvenez-vous j'y ai vécu un an), ils portent un coquelicot (poppy) pour se rappeler, j'en acheté un. Cela vient d'un poème "In Flanders fields" écrit par John McCrae qui, comme Erich Maria Remarque a connu l'horreur des tranchées. 

Je le porte pour tous les morts de toutes les guerres. Oui car mon poème préféré c'est Le dormeur du val, d'Arthur Rimbaud. Oui, mon coté utopiste. Idéaliste. Pacifique.

 

Je vous laisse en poésie.

 

Le dormeur du val

C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Arthur Rimbaud

 

 

In Flanders Fields

In Flanders fields the poppies blow
Between the crosses, row on row,
That mark our place; and in the sky
The larks, still bravely singing, fly
Scarce heard amid the guns below.

We are the Dead. Short days ago
We lived, felt dawn, saw sunset glow,
Loved and were loved, and now we lie
In Flanders fields.

Take up our quarrel with the foe:
To you from failing hands we throw
The torch; be yours to hold it high.
If ye break faith with us who die
We shall not sleep, though poppies grow
In Flanders fields.

John McCrae

lundi 11 novembre 2013

Le mois du film documentaire

Super Copine m'a proposé de l'accompagner à une avant-première dans le cadre du mois du film documentaire qui avait lieu à la bibliothèque publique d'information (BPI pour les intimes, à Beaubourg).


Cette manifestation culturelle en est à sa 14e édition et rassemble près de 1800 structures qui organisent les projections : médiathèques, salles de cinéma, associations, musées, centres culturels, écoles, universités, que ce soit en France ou l'étranger. Au total, 3000 séances de 1700 films sont proposés au public. L'année dernière, il y a eu environ 148 000 spectateurs.


Le film documentaire reste un genre peu visible au cinéma, et tout le pari de cette manifestation est de développer sa visibilité. C'est un très beau projet dont j'admets ne jamais avoir entendu parlé auparavant...


En avant- première, j'ai pu voir le film L'Escale de Kaveh Bakhtiari. Nous a été proposé, juste avant, un court-métrage restauré sur le rock datant des années 60 (une petite merveille) et des bandes annonces d'autres documentaires.


Synopsis du film L'Escale sur  Premiere.fr :


"A Athènes, le modeste appartement d'Amir, un immigré iranien, est devenu un lieu de transit pour des migrants qui, comme lui, ont fait le choix de quitter leur pays.

 Mais la Grèce n’est qu’une escale, tous espèrent rejoindre d’autres pays occidentaux.

 Ils se retrouvent donc coincés là, chez Amir, dans l’attente de papiers, de contacts et du passeur à qui ils confieront peut-être leur destin.."



C'est un très beau documentaire, et plonger dans le quotidien d’immigrés était une expérience forte, partager les moments de doute, de peur, de tristesse, mais aussi les fous rire, les joies, les réussites. Il y a quelques moments de pure grâce (sur une plage avec un enfant notamment). Si vous voulez allez plus loin, je vous conseille la critique de Telerama. Et surtout je vous conseille ce film.

 

Bon lundi.